Les Ecoles de Hennezel et Clairey – 2017

Les Écoles

Cette année, la communauté de communes «Les Vosges côté Sud Ouest» a pris à la commune de Hennezel la compétence (au sens juridique : le droit de faire) scolaire et périscolaire. Aussi la commission scolaire n’a plus lieu d’être au niveau communal, d’où la brièveté de ce compte rendu :

À Hennezel

À la rentrée, les enfants de grande section, moyenne section et CP ont retrouvé leur enseignante, Stéphanie Ballat, qui a aussi accueilli les quelques petits nouveaux. Djamel Chennouf a remplacé Matthieu Pinot pour compléter le poste de Stéphanie. Les mardis, c’est Djamel à Hennezel.

Djamel et les enfants

À Clairey

Maud Aspis-Trinidad a laissé sa place à F. Claude, pour s’occuper de 27 élèves à ce jour (novembre 2017). Si lors d’une balade matinale vous rencontrez une dame accompagnée d’une foule d’enfants, il s’agit sans doute de F. Claude et de sa classe qui font quotidiennement une sortie vers un grand chêne.

Fanny & Perrine

Parmi les 27 élèves, deux ne sont pas francophones. Courant novembre, l’éducation nationale (l’ex instruction publique [1]) a généreusement daigné accorder une aide à nos écoles, peut-être dans un souci d’égalité scolaire étant donné que certaines classes de deux fois moins d’élèves en milieu urbain bénéficient parfois d’un tel soutien  :

Maîtresse Perrine apportera donc son concours aux enseignantes d’Hennezel-Clairey deux jours par semaine pendant plusieurs mois.

Et les collégiens

Les grands CM2 ont quitté Clairey, non pas pour aller à Darney, mais à Monthureux sur Saône. En effet, le collège de Darney a fermé ses portes aux 6emes et 5emes  à cette rentrée ; ceux-ci vont donc rejoindre les plus grands à Monthureux où ils se retrouvent à un peu moins de 210 enfants cet automne.

[1] extrait de http://www.education.gouv.fr/pid289/le-ministere-de-l-education-nationale-de-1789-a-nos-jours.html En 1932, le gouvernement d’Édouard Herriot décide de rebaptiser l’instruction publique « éducation nationale ». Anatole de Monzie est le premier ministre à porter cette nouvelle titulature. Il explique dès sa prise de fonction qu’elle est synonyme d’égalité scolaire et de développement de la gratuité et que, en somme, qui dit « éducation nationale » dit « tronc commun ».

Pique-nique à l’étang Conéfontaine

Visite Musée de Clairey

                                                                                     Bruno Mathieu

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